Réunis dans un espace restreint, on trouve un lieu d’animation touristique recevant 12 000 visiteurs par an, avec dans un environnement immédiat deux espaces naturels sensibles (zone humide et landes sèches).
On y trouve également un géodrome, c’est-à-dire une présentation des roches émergeant dans un rayon de 50 Km.
Nous sommes également en pleine forêt et il va être mis en place une valorisation de la forêt communale dans une perspective du changement climatique.
I LA ZONE HUMIDE

LA PRÉSENTATION DE CETTE ZONE HUMIDE PAR FRÉDÉRIC PUECH CHAGÉ DE MISSION ESPACES NATURELS SENSIBLES DU DÉPARTEMENT
La tourbière, est un milieu humide siège d’une biodiversité remarquable et spécifique. Les fonctions de ce milieu naturel sont multiples. Véritable régulateur des flux d’eau en surface, la tourbière joue un rôle d’éponge en contribuant à retenir l’eau en hiver pour la restituer progressivement en été. Son rôle dans le ralentissement des crues et l’alimentation en eau l’été de tous les petits ruisseaux n’est plus à démontrer. C’est l’action cumulée d’une multitude de zones humides qui crée le bénéfice écologique et fonctionnel. Ces infrastructures naturelles subissent malgré tout l’évolution des milieux naturels vers un espace boisé, la Nature ayant horreur du vide, la tourbière se referme, perdant une partie de ses fonctionnalités et de sa biodiversité.
En 2019,les étudiants de l’École des mines Albi Carmaux encadrés par les services de la Direction de l’Environnement du Département du Tarn ont su donner de leur personne, les pieds dans la boue et dans des conditions difficiles, ils ont extrait des branchages hors de la tourbière facilitant l’action de reconquête future de la sphaigne (1). Pour entretenir le site dans le temps, trois vaches écossaises de race Galloway sont utilisées. Elles vont voir leur surface de pâturage augmenter grâce à cette initiative.
(1) La sphaigne est une sorte de mousse qui peut absorber une grande quantité d’eau : 1 kg de sphaigne peut absorber 70 à 75 litres d’eau !

POINT DE VUE DU BOTANISTE PHILIPPE DURAND sur LA ZONE HUMIDE
La tourbière de Payrac est en légère déclivité au fond d’un petit vallon, alimentée par les eaux s’écoulant dans ce vallon et probablement par des suintements de pente. Un passage surélevé, en bois, permet de traverser la partie haute de la tourbière sans la piétiner. Mais toutes les espèces de la tourbière ne sont pas visibles depuis ce passage : c’est le cas de la Drosera, qui ne s’observe que dans la partie tourbeuse en contrebas, saturée d’eau et pâturée par des vaches écossaises (race Highlands, habituellement de couleur fauve, mais ici noires). En l’absence de pâturage, la tourbière aurait été envahie, depuis longtemps, par des saules et d’autres arbres ou arbustes, et elle serait totalement fermée. Parmi les espèces présentes dans la tourbière et observables depuis le cheminement de bois, huit sont ici illustrées et brièvement décrites. L’Aulne glutineux (Alnus glutinosa, figure 3), est un arbre qui ne se trouve que dans des milieux humides : soit le pied dans l’eau avec les racines en partie immergées, soit au bord immédiat de l’eau, sur les berges des ruisseaux et rivières, soit encore dans des zones humides, tourbières ou autres. Lorsque ses racines sont immergées – ce que la plupart des autres arbres ne supportent pas – elles sont divisées en fines et nombreuses radicelles munies de canaux aérifères qui leur permettent de respirer sous l’eau. Lorsqu’elles sont émergées, elles portent des nodosités formées par des bactéries fixatrices d’azote vivant en symbiose avec l’arbre (des Frankia), ce qui permet aux aulnes de se développer dans des sols hydromorphes, à la fois acides et très pauvres en azote assimilable. C’est aussi pour se procurer de l’azote que la discrète Drosera (Drosera rotundifolia) est devenue « carnivore » : ses feuilles portent de nombreux poils terminés par une glande, transparente et luisante comme une goutte de rosée, qui attire les insectes, les englue puis les « digère » grâce aux enzymes qu’elle contient ; ensuite, les produits de la digestion sont directement absorbés par les feuilles. Cette « digestion » externe est très différente de la digestion interne des animaux.La Bourdaine (Frangula alnus, figure 3), comme la Callune et le Genêt d’Angleterre, se rencontre aussi bien dans des zones humides que dans les landes sèches. C’est une espèce laxative fortement toxique (en particulier ses fruits, mais pas pour les oiseaux). Du XVIIe au XIXe siècle, la Bourdaine était récoltée pour faire un charbon de bois réservé à la fabrication de la poudre noire. |

La Potentille dressée (Potentilla erecta, figure 4) est facile à reconnaître : ses fleurs, isolées sur de longs pédoncules, ont seulement quatre pétales jaune soufre à onglets orangés (toutes les autres potentilles ont des corolles à cinq pétales). Le Lotier des marais (Lotus pedunculatus, figure 4) a des feuilles à trois folioles et deux larges stipules foliacées. Ses fleurs sont jaunes, mais à corolles papilionacées ; elles sont disposées, par 2 à 8, en couronne au sommet de longs pédoncules naissant à l’aisselle des feuilles supérieures de la tige. |

La Campanille à feuilles de lierre (Wahlenbergia hederacea, figure 5) est une toute petite campanule au port couché. Le contour de ses feuilles rappelle celui des feuilles de lierre et ses minuscules fleurs bleu pâle ont cinq pétales soudés en longue clochette renflée, à extrémités libres triangulaires se refermant la nuit.
Le Millepertuis des marais (Hypericum helodes, figure 5) est une petite plante stolonifère, couverte de poils veloutés. Ses feuilles sont opposées et leur limbe est ovale arrondi, à trois nervures principales très apparentes. Ses petites fleurs sont jaune soufre, à corolles épanouies en pavillon.

La Fougère femelle (Athyrium filix-femina, figure 6) est caractérisée par ses frondes [feuilles des fougères] trois fois découpées qui lui donnent un aspect finement dentelé. Pour certains, le nom de cette fougère viendrait de cette fine découpe semblable à de la dentelle, opposée à celle, plus grossière, de la fougère mâle (Dryopteris filix mas) aux frondes seulement deux fois découpées ; mais cette dernière n’est pas plus masculine que la première n’est féminine : les deux espèces ont des spores bisexuées. Le nom de « fougère femelle » vient plus probablement de l’utilisation passée de cette espèce, censée faciliter les accouchements ou atténuer certains troubles gynécologiques ; Dryopteris filix-mas était qualifiée de « mâle » car elle ne pouvait pas convenir pas à cet usage. Les fougères, non ou très rarement consommées par les humains, sont toutes plus ou moins fortement toxiques, au moins pour les animaux. On le sait car les principales données toxicologiques proviennent des vétérinaires : la Fougère femelle est toxique au moins pour les chats, la Fougère aigle (Pteridium aquilinum) est toxique au moins pour les chevaux et on sait qu’elle est cancérigène pour l’Homme, etc.
La Lysimaque commune (Lysimachia vulgaris, figure 6) ne se rencontre que là où elle peut avoir – au moins temporairement mais de préférence en permanence – de l’eau, de l’ombre et de la fraîcheur : milieux frais des bords des rivières et des ruisseaux, sources, tourbières. Elle se reconnaît à ses feuilles lancéolées, habituellement groupées par trois, et à ses fleurs jaune vif aux pétales et étamines à bases orangées.

II LES LANDES SÈCHE DE LA LAOUZÉTO ET DE TSAQUARELLO, LA PLUS IMPORTANTE DU DÉPARTEMENT
LA PRÉSENTATION DE CETTE ZONE PAR FRÉDÉRIC PUECH CHAGÉ DE MISSION ESPACES NATURELS SENSIBLES DU DÉPARTEMENT
Classées Espaces Naturels Sensibles par le Département du Tarn, les « serres de Tsaquarello » constituent l’un des derniers espaces de landes sommitales des Monts de Lacaune.
Ce site communal, autrefois largement pâturé, est aujourd’hui en partie soumis à la déprise pastorale (évolution lente vers un espace boisé). Or ces espaces ouverts représentent de véritables îlots de biodiversité, d’où l’intérêt majeur de les préserver. De nombreuses espèces d’orchidées, insectes, rapaces comme le busard St Martin y trouvent un milieu favorable à leur développement.
En 2019, avec le concours des étudiants de l’Ecole des mines Albi Carmaux encadrés par les services de la Direction de l’Environnement du Département du Tarn, une action d’envergure a pu être réalisée permettant de rouvrir une partie des landes à bruyères situées au nord du site de Tsaquarello. Les ligneux y gagnent, lentement mais sûrement, leur place en colonisant ce large espace ouvert mais faisant perdre par la même occasion les caractéristiques premières du milieu et la biodiversité qui lui est propre.
Les nombreux étudiants ont mis beaucoup d’ardeur à extraire les arbustes, branches et troncs de la lande, tâches ingrates mais ô combien bénéfiques pour ce milieu naturel sensible.

LE POINT DE VUE DU BOTANISTE PHILIPPE DURAND SUR LA LANDE SÈCHE DE LA LAOUZÉTO
Lauseta (prononcer « laouséto ») est le nom occitan de l’alouette, qui niche au sol dans les landes ouvertes. Par temps calme et pas trop chaud, vous l’entendrez chanter haut dans le ciel, le plus souvent sans la voir. Les landes sèches de « Laouseto » et de « Tsaquarello » ont une végétation composée d’espèces adaptées à la vie sur des sols granitiques de très faible épaisseur, à faible capacité de rétention d’eau. Sur les sols les plus squelettiques, cette végétation est dominée par des Éricacées, Callune et Bruyère cendrée ; sur les sols plus profonds, elle est dominée par la Fougère aigle. Comme précédemment, seulement huit espèces observées dans ce milieu sont ici illustrées et brièvement décrites. La Bruyère cendrée (Erica cinerea, figure 7) fleurit au début de l’été. Ses tiges fines et rigides portent des feuilles groupées par trois, accompagnées le plus souvent, à leur aisselle, par un court rameau feuillé. Ces feuilles ressemblent à de fines aiguilles, mais elles seraient plus larges si leur limbe était déplié : leurs marges enroulées vers le dessous peuvent s’entrouvrir ou se refermer, et ainsi réguler les échanges gazeux avec l’atmosphère, ce qui limite les pertes d’eau en période de sècheresse. Ses fleurs ont quatre sépales violacés, lancéolés et étroits, appliqués à la corolle, et quatre pétales d’un rose franc, soudés en grelots presque fermés dont ne dépassent que les stigmates. La Callune (Calluna vulgaris, figure 7) fleurit en été. Ses tiges fines et rigides portent des paires de feuilles opposées, et chaque paire est décalée d’un quart de tour par rapport à ses voisines : les feuilles paraissent disposées sur quatre rangs étroitement imbriqués. Bien plus courtes que celles de la bruyère cendrée, les feuilles de la Callune ont aussi un limbe replié vers le dessous, dont les marges peuvent s’entrouvrir ou se refermer, régulant ainsi les pertes d’eau et les échanges gazeux avec l’atmosphère. Ses fleurs ont quatre sépales libres et quatre pétales non soudés, tous de couleur rose clair, formant une coupe mi-ouverte. |

La Carline à feuilles d’acanthe, ou Cardabelle (Carlina acanthifolia subsp. cynara, figure 8) est l’emblème des landes sèches des Monts de Lacaune et des Grands Causses. Cardabelle vient de l’occitan « Cardabèla », qui désigne le « grand chardon des causses ». Dans les Grands Causses et les Monts de Lacaune, une cardabelle séchée était clouée sur les portes, où elle servait de porte-bonheur et d’hygromètre : par temps sec, les feuilles sèches restent étalées ; lorsque l’humidité de l’air augmente, elles se referment. Suite à des prélèvements destructeurs, sa récolte est maintenant réglementée.
Les feuilles fortement épineuses de la Cardabelle sont plaquées au sol et étalées en étoile, rappelant les représentations anciennes du Soleil et faisant à la plante une place dans la végétation voisine. Son inflorescence est un capitule de plusieurs centaines de petites fleurs jaunes (appelées fleurons), entourées de deux rangées de bractées : les bractées internes, sans épine, sont en longue languette souple, jaune doré ; les bractées externes, rigides et arquées vers l’intérieur, sont brun fauve luisant et bordées de deux rangées opposées de fines épines, avec une très forte épine terminale. Lorsque les bractées sont ouvertes, les chevreuils broutent volontiers les fleurons (comportement observé au sommet de la lande de Tsaquarello).
Sur la figure 8, la photo du haut montre une Cardabelle entière, photographiée au lever du soleil sur la lande de Tsaquarello, avec les bractées internes encore refermées par la rosée matinale. Sur la photo du bas, un peu plus tard dans la matinée, les bractées sont entrouvertes et un bourdon (apparemment Bombus terrestris) se gave de nectar et récupère du pollen. Mais peut-être y a-t-il passé la nuit ?

Les petites écailles qui entourent les fleurons sont soudées entre elles ; l’hiver suivant, elles se détachent en bloc du capitule et sont emportées par le vent, dispersant les graines qu’elles contiennent encore. On peut alors observer la disposition régulière des fleurons, en spirales croisées : comptez-les ! Sur la périphérie du capitule, il y en a habituellement 34 dans un sens et 55 dans l’autre [Fig. 9], mais au centre la situation est plus confuse et les spirales ne sont plus distinctes.

Le Genêt d’Angleterre (Genista anglica, figure 10) est un petit genêt très épineux, aux épines très vulnérantes, arquées vers le bas de la tige. Comme la Callune et la Bourdaine, il s’observe aussi bien dans les landes atlantiques sèches que dans les tourbières. Ses fleurs sont jaune soufre et ses gousses sont cylindriques, un peu boudinées, courtes et renflées.
Le Caille-lait jaune (Galium verum, figure 10) est bien visible lorsqu’il est fleuri, avec ses inflorescences en grosses grappes composées et très fournies de petites fleurs à quatre pétales jaunes. Ses tiges sont arrondies, lisses ou un peu velues, rameuses ou non. Ses feuilles sont fines, étroitement lancéolées, groupée par 6 à 12 sur chaque nœud. La plante servait autrefois de substitut de présure pour faire cailler le lait.

AMÉLIORATIONS À APPORTER SUR LA SIGNALISATION DU CIRCUIT DES ESPACES NATURELS SENSIBLES
EN ZON HUMIDE : COMMENT SE CONSTITUE UNE TOURBIÈRE ?
QUELLES SONT LES FLEURS REMARQUABLES ET LES ORCHIDÉES DES ZONES HUMIDES ?
QUELS SONT LES INSECTES DES ZONES HUMIDES
QUE TROUVAIT-ON DANS LA MARE FORESTIÈRE
DANS LA PARTIE FORESTIÈRE
LES MURS TÉMOINS DES ANCIENNES CULTURES (SEIGLE)
LE CHÊNE ISOLÉ ET LE CHÊNE EN FUTÉE
CHÊNAIE AVEC SOUS-BOIS EN HOUX
COMMENT APPELAIT-ON EN OCCITAN UN HOUX SANS PIQUANTS POUR L’ALIMENTATION DES ANIMAUX ?
LE SUBSTRAT DE LA FORÊT : LE RÔLE DES CHAMPIGNONS DANS LES RACINES
QUELLE EST LA QUANTITÉ D’EAU EVAPIORÉE PAR JOUR PAR UN GROS HÊTRE ?
DANS LA LANDE SÈCHE
COMMENT DIFFÉRENCIER BRUYÈRE ET CALLUNE
QUELS SONT LES INSECTES DES LANDES SÈCHES
QUELLES SONT LES FLEURS REMARQUABLES ET LES ORCHIDÉES DES LANDES SÈCHES
LE NOMBRE D’OR ET LA SUITE DE FIBONACCI
POURQUOI AINSI QUALIFIER LA FOUGÈRE AIGLE
III LA PRÉSENTATION DE LA DIVERSITÉ DES ROCHES : LE GÉODROME MICHEL DEMANGE
Cette présentation est unique en France et permet de comprendre l’utilisation des divers lieux par les Hommes autour de la Maison de Payrac. Elle est dédiée à Michel Demange, le géologue de référence sur la zone axiale de la Montage Noire, secteur qui pour les géologues englobe aussi les Monts de Lacaune.
Une présentation de ce géodrome est accessible sur internet :
Venez découvrir le seul Géodrome de France, ici à Payrac!Venez apprendre de façon ludique au Géodrome de Payrac, qui rassemble la majorité des roches de notre région, en particulier celles qui ont eu une utilité pour les Hommes. |
LA JOURNÉE MINÉRALOGIE DU 25 JUILLET 2022

Didier Nectoux, vous avez la responsabilité du très beau musée de minéralogie de l’École des mines de Paris et vous êtes venu animer une journée minéralogie le 25 juillet 2022 à Payrac. Quels messages avez-vous voulu faire passer ?
La géologie apparaît souvent comme une affaire de spécialistes. Et pourtant elle permet de lire les paysages, de comprendre un lieu et les hommes qui l’habitent. Les roches ont fourni les matériaux pour construire les maisons; les minerais, hier exploités ont apporté richesse et développement de l’industrie locale, des voies de communication; les sols ont favorisé une agriculture caractéristique d’un terroir. La diversité des roches présentes dans le sous-sol des Monts de Lacaune a fait de cette région une mosaïque de pays, ceux du granite, du calcaire, des schistes et des gneiss. Le géodrome de Payrac donne en un regard une idée de la géodiversité du secteur. Un endroit privilégié pour observer, découvrir et évoquer tous ces sujets.
Quels messages essentiels devrait retenir le grand public des Sciences de la Terre ?
Les Sciences de la Terre nous offrent un voyage dans les temps géologiques avec des bouleversements fabuleux comme la surrection d’une montagne, de la naissance ou la disparition d’océans, des apparitions et disparitions de faunes et de flores étonnantes. Elles nous donnent aussi la possibilité de parler de l’histoire de l’Homme et de sa formidable capacité d’adaptation à un lieu en utilisant ses ressources présentes sous ses pieds. Un retour aux fondamentaux si nécessaire en ces temps incertains.
Comment avez-vous trouvé les participants ?
Curieux, chaleureux, à l’image des organisateurs de cette rencontre et des animateurs de ce lieu.
Quelle impression vous ont laissé les Monts de Lacaune?
Un lieu de beauté, de paix où on a envie de venir se ressourcer, de déguster paysages et produits du lieu.
IV LA FORÊT COMMUNALE DE NAGES : ESPACE DE DIVERSITÉ
On y trouvera une présentation de la forêt communale actuelle :
- Les forêts anciennes : chênaies en bas, hêtraie en hauteur,
- Les plantations des années 1960,
- Les groupements forestiers
- L’affouage
- Les usages ludiques : randonnée, chasse, champignons
Il y aura également une présentation des défis de demain avec le réchauffement climatique : mesures défensives, nouvelles plantations avec diversité de plants : feuillus et résineux plus résistants à l’évolution climatique.
Nous allons améliorer cette mise en valeur en présentant les diverses forets en bordure des chemins de randonnée les plus fréquentés : RÉSINEUX ÉPICÉA, RÉSINEUX DOUGLAS, RÉSINEUX SAPINS, RÉSINEUX PINS, RÉSINEUX CÈDRE DU LIBAN, CHÂTAIGNERAIE, HÊTRAIE, CHÊNAIE, FORÊT DES LANDES SÈCHES (ALISIER, ), ESPACES DE GENEVRIERS…