On a découvert qu’en 1849, Paulin de Naurois avait acheté un sac de fèves pour une vache.

Comme ceci n’est plus pratiqué chez bous, nous avons interrogé Jean Delmas qui nous a déclaré : « Oui, c’est bien  « un sac fèves pour une vache ». Ce sont des fèves plus petites que celles pour la cuisine (dites fèves des marais, dites ici favas). Nous l’appelons en Rouergue la favarèla ou la fava negra, en français faverole. On la cultive dans les champs. La graine, nourrissante, était (ou est encore) donnée au bétail; le reste, tiges et feuilles, servait d’amendement. L’abbé Vayssier, qui a enseigné à Belmont et a recueilli des témoignages dans ce secteur, dit que le pampre vaut la moitié du fumier. »

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