En 1850, Paulin de Naurois achète des cochons anglo-chinois. Il montre encore une fois le souci d’essayer toutes les solutions.

Jean Delmas nous a fait part des pages du Cultivateur aveyronnais d’Amans Rodat (1839) Les porcs anglo-chinois sont mentionnés, ce qui date à peu près de leur introduction dans nos régions. Je vous envoie le passage, page 175, article 10, suivant : »

Les anglo-chinois s’engraissent avec une merveilleuse facilité. Ils ne peuvent pas, à la vérité, remplacer les races du pays dans les usages de la cuisine rustique, parce que leur chair est trop fondante ; mais par des alliances conduites avec intelligence, on peut les faire servir à la création d’une race perfectionnée. Ceci sera développé dans la seconde partie, quand nous traiterons de la science de perfectionner les races, science qui a immortalisé un anglais nommé Bakwel.

La littérature agricole de cette époque-là fait une grande promotion de ces porcs.

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