L’étude de la ferme de Narulle a permis de découvrir que dans les années 1930, on pratiquait une tonte du cheval en novembre chez le forgeron Vidal de La Trivalle (Le Marchandou).
L’ancien directeur des archives de l’Aveyron, Jean Delmas, m’a fourni l’explication : « Les « vieux » auteurs conseillent de tondre les longs poils hivernaux des chevaux de trait, que l’on fait travailler, afin d’éviter une » surchauffe ». Je suppose qu’on ne les laissait pas passer la nuit dans le froid dans un enclos, mais qu’on les rentrait au chaud à l’écurie après le travail. » Et effectivement à Narulle, l’écurie du cheval était sous une voûte en pierre, assez bien isolée.
Pose d’un fer à un cheval à Moulin-Mage